Conseil d’administration de l’OECCBB: un renouveau mesurable, une ambition confirmée

Il y a des réunions qui ne se résument pas à une série de points à l’ordre du jour. Un Conseil d’administration peut aussi être un moment de lucidité : celui où l’on vérifie si l’intuition devient une trajectoire, si l’énergie devient une organisation, et si les promesses prennent une forme concrète.

Le dernier CA de l’OECCBB a confirmé une réalité : le renouveau de l’Ordre n’est plus un projet, c’est une dynamique en cours. Les chiffres le montrent. Les équipes le portent. Les membres le ressentent. Et les perspectives 2026 renforcent encore ce mouvement.

Que révèle la croissance de 45% du nombre de membres en 2025 ?

Une croissance de 45% en 2025 est un indicateur fort. Elle ne dit pas seulement “plus de membres” : elle traduit une confiance qui se reconstruit, une utilité perçue plus clairement, et une proximité qui se renforce entre l’Ordre et celles et ceux qu’il représente.

Cette progression donne aussi une responsabilité supplémentaire : continuer à mériter cet élan, en renforçant la qualité de service, la clarté des positions, et l’impact des projets.

Quel a été le rôle de l’équipe dans ce mouvement ?

Le deuxième constat du CA est sans ambiguïté : l’équipe est mobilisée, engagée, et très opérationnelle. Le renouveau ne se décrète pas : il s’exécute. Et c’est précisément ce qui change une trajectoire.

Quand la motivation est “au beau fixe”, cela se voit dans des détails très concrets : réactivité, qualité des livrables, cohérence des messages, capacité à enchaîner les projets et à tenir le cap malgré la densité de l’agenda.

Que peut-on attendre de 2026 ?

Le CA a également confirmé que les projets 2026 seront aussi nombreux que ceux de 2025. L’objectif n’est pas d’empiler, mais de structurer : consolider ce qui a été lancé, amplifier ce qui fonctionne, améliorer ce qui doit l’être, et donner davantage de lisibilité à l’action de l’Ordre.

Le sentiment partagé est clair : l’avenir s’éclaircit sensiblement. Non pas parce que tout devient simple, mais parce que la direction est plus lisible, les priorités plus cohérentes, et les moyens mieux alignés.

Quels signaux montrent que le mouvement dépasse le cadre interne ?

Au-delà des indicateurs, un élément ressort fortement : l’envie.

• Chaque semaine, des projets de coopération sont proposés à l’OECCBB, signe que l’Ordre redevient un interlocuteur naturel.
• Les médias belges nous donnent la parole sous des formes diverses, ce qui traduit une reconnaissance accrue de la place de la profession dans les débats économiques et sociétaux.
• Et surtout, le signal le plus précieux : les remerciements des membres, plus fréquents, plus spontanés, plus concrets. Cela ne remplace pas le travail à faire, mais cela rappelle pourquoi il est utile.

Quelle posture pour la suite ?

Le CA a aussi un rôle de boussole : rappeler que l’ambition n’exclut pas la simplicité, et que la fierté peut rester compatible avec l’humilité.

La ligne pour la suite se résume en trois mots : sourire, ambition, humilité. Continuer, servir, construire. Avec une exigence quotidienne, et avec la conscience que cette dynamique appartient d’abord aux membres.

Conclusion

Le dernier Conseil d’administration l’a confirmé : le renouveau de l’OECCBB est concret, visible, et désormais mesurable. La croissance de 45% en 2025 en est une preuve. La mobilisation de l’équipe en est le moteur. Les projets 2026 en sont la continuité. Et l’élan venu des coopérations, des médias et des retours des membres en est le signal le plus encourageant.

À toutes et tous : merci. Et surtout, bonne continuation à l’ensemble des membres.